Parc national du Tassili

Le parc national du Tassili se situe au sud de l'Algérie dans le massif du Tassili n'Ajjer. C’est l’un des plus importants parcs nationaux du monde. Il s'étend sur 7 200 000 ha, et il est ainsi le deuxième parc d'Algérie par sa taille. Il est classé depuis 1982 au Patrimoine mondial par l'UNESCO et réserve de l'homme et de biosphère depuis 1986. Il est, par le nombre des gravures rupestres qu'il abrite, le premier site à l'échelle mondiale.

Des zones très arides du Tassili n'Ajjer furent en d'autres temps de verdoyantes contrées très peuplées par des civilisations pastorales

Le Parc National du Tassili
A l'est du massif central Saharien, le Parc National du Tassili correspond à l'ensemble des plateaux ou "Tassili" et leurs ergs périphériques.

Avec ses 80.000km2, il est l'un des plus vastes du monde. Les frontières avec la Libye et le Niger le limitent à l'Est et au Sud. Le parc est entièrement dans la zone climatique saharienne, mais la présence des plateaux, dont l'altitude de 1400 à près de 2000 mètres, lui fournit des conditions privilégiées de nos jours comme dans le passé.

Le parc est placé sous la tutelle du ministère chargé de la culture. Il est situé dans la wilaya d'Illizi excepté l'extrême Ouest (wilaya de Tamanrasset). Le siège est à Djanet mais de nombreux postes sont installés à Illizi est Bordj El Haouès qui commandent les accès au massif et dans plusieurs centre de culture: Ihérir, Tamadjert, Afara…

La zone périphérique composée de grands ergs et protège le parc; c'est la zone de circulation par excellence. Elle est concernée par une réglementation qui veut assurer la sécurité et la préservation. Dans le parc même, certaines régions sont ouvertes à la visite, d'autres sont en réserve. Une route principale traverse le parc: Illizi, Bordj El haouès, Djanet.

Le Parc National du Tassili est habité. La densité y est faible mais plusieurs petits centres de culture profitent des vallées abritées, on y pratique de l'élevage du petit bétail et un peu d'agriculture. Des nomades ou semi nomades parcourent les pâturages du plateau.

Le Parc National du Tassili a pour objectif de veiller à la protection et à la mise en valeur d'un patrimoine naturel et culturel incomparables.

Le parc recèle en effet des richesses extrêmement variées: paysages, fossiles et flores relictes. Il abrite de remarquables bien culturels dont les plus célèbres sont les peintures et les gravures rupestres. L'intérêt de ces ressources lui a valu d'être inscrit parmi les biens du patrimoine Mondial dès 1982 (UNESCO) et d'être classé Réserve de la Biosphère dès 1986 (MAB).

Géologie, Hydrologie
Le Tassili Azguer est formé de deux plateaux gréseux superposés au socle cristallin précambien. Le plus ancien, le Tassili interne ordovicien domine les ergs du Sud-Ouest par une falaise abrupte qui atteint par endroits 600 à 700 mètres et n'est franchissable que par quelques cols.

Le Tassili supérieur dévonien s'incline vers le Nord-Est, il est nettement séparé du précédent par un sillon où dominent les schistes.

Ce même Tassili se retrouve au Sud-Est dans la région de Tadrart. Un massif volcanique bien plus récent, l'Adrar, culmine vers 2200 mètres au Nord de l'erg Admer.

Cette histoire géologique, une érosion fluviale intense dans un passé lointain, l'érosion éolienne ancienne et actuelle, valent au Tassili des payasages très diversifiés, "forêts de pierresé" comme à Tissoukai ou Séfar, canyons impressionnants de Tan-Zoumaitak, de Ihérir de Aharhar.

Les grandes étendues de dunes, les ergs marquent l'avancée du désert et offrent un contraste total avec le massif gréseux et la falaise. Les oueds ne coulent plus, sinon à l'occasion d'une crue subite et violente mais très rare. L'oued Ihérir offre un courant pendant environ huit mois par an, ce qui est exceptionnel sous ces latitudes. L'eau est donc infiniment précieuse: les "gueltas" ou "Adjelmam" sont de rudes réserves naturelles permanentes ou temporaires selon les cas vitaux pour les hommes comme pour les animaux. La végétation est rare et souvent absente des vastes superficies. Pourtant dans les lits d'oued, au fond des gorges encaissées, elle est plus dense. La flore est particulièrement originale, alliant les éléments de type méditerranéen ou saharo-arabique à d'autres, de type paléo-tropical, qui atteste des variations climatiques du passé.

Le Tassili comme les autres massifs du Sahara central, à cause de son isolement, a un fort taux d'espèces endémiques (myrte, olivier, lavande etc…). Le cyprès de Duprez (cuperssus dupreziana) est le plus célèbre.

Faune et Flore

Il en existe plus de 230 exemplaires, vivant dans la partie la plus élevée du plateau. Ce sont de véritables fossiles, peut-être plusieurs fois millénaires, qui ne se reproduisent plus sur place. Cette flore qui a survécu à la désertification, du fait de ses qualités de résistance, d'adaptation, est d'un grand intérêt pour les scientifiques. Les animaux se sont eux aussi adaptés à des conditions extrêmes d'où leur intérêt tout particulier.

Les grands mammifères sont présents: si les antilopes ont disparu récemment, le mouflon à manchettes (ammotragus lervia) se maintient bien dans les régions les plus escarpées. Bien que menacées, surtout dans les ergs, les gazelles sont nombreuses dans les grands oueds du Tassili. Le guépard est en voie de disparition.

On doit noter la présence du goundi du Sahara (cténodactylus vali), du daman ou "akaoka" (provacia capensis), d'assez nombreux reptiles aussi.

Si le dernier crocodile a été tué il y a quelques dizaines d'années, il reste encore dans certains gueltas des poissons et toute une micro-faune remarquables.

Tassili Aujourd'hui, Témoignage d'Hier
La région, comme tout le Sahara central, a connu une succession de phases humides et arides dont les races sont inscrites dans la morphologie du plateau comme plus tard elles le seront dans la composition de la flore. La phase aride actuelle est l'aboutissement d'un assèchement continu depuis 10.000 ans. Les innombrables vestiges archéologiques, les représentations des troupeaux de bovidés ou de la grande faune tropicale, peintes ou gravures, sont autant de preuves étonnantes de la dernières oscillation plus clémente qui a favorisé l'épanouissement du néolithique tassilien.

Depuis environ 2500 ans maintenant, ou peut-être 3000, le climat actuel est installé dans le Tassili et ses environs. Il est caractérisé par de très grands écarts de température, une pluviosité très faible et irrégulière, une grande évaporation, une extrême sécheresse de l'air.

Les cultures qui se sont épanouies sur le Tassili nous ont laissé des vestiges nombreux et divers que l'on trouve aujourd'hui à chaque pas, le magnifique ensemble de peintures et de gravures est le plus célèbre et le plus remarquable.

Du paléolithique datent des gisements au niveau des grands ergs (Tihodaine, Admer, Ténéré…) qui ont livré des bifaces, des pointes ou des hachereaux parmi les plus achevés du point de vue technique.

Les vestiges du néolithique sont extrêmement variés: matériel lithique, matériel de broyage (meules, molettes, broyeurs…), têtes de flèches, haches polies, céramique et aussi murettes, enclos, traces diverses du pied des parois décorées à l'ocre rouge ou gravées. Des peuples divers en furent les auteurs, se succédant sur une période de plusieurs millénaires.

A partir d'une comparaison de styles et des techniques rupestres, une classification par période a été admise, qui couvre environ 7000 ou 8000 ans.

Chasseurs, Pasteurs

Les gravures sont de l'avis des spécialistes les plus anciennes manifestations du néolithique saharien. On a continué à graver jusqu'à la période la plis récente, celles des inscriptions en tifinar et du chameau.

Les plus belles œuvres représentent toute la grande faune des mammifères de la zone tropicale: éléphant, hippopotame, girafe, rhinocéros et des bovidés en nombre important, l'homme y est présent aussi.

Les sites les plus remarquables sont l'oued Djerat, vaste sanctuaire aux centaines de gravures, Tin Terirt où les figures sont sur une vaste dalle horizontale, l'oued In Djerane avec ses éléphants et ses girafes grandeur nature, Tégharghart également près de Djanet où l'on peut admirer une des plus belles scènes gravées de la période bubaline. Les peintures archaiques, à tendance monumentale ou au contraire de très petites dimensions, offrent des représentations humaines ou animales avec prédilection pour l'antilope ou le mouflon.

Les fresques lisibles figurent des scènes de chasse, mais aucun détail apportant la preuve d'une domestication n'y figurent. Un grand nombre de ces scènes ou même des figures reste incompréhensible pour nous. La majorité des fresques, sinon la totalité, est certainement à caractère symbolique et culturel.

Les chasseurs de cette culture qui présente des variantes locales ont parcouru le Tassili pendant plusieurs millénaire, sans doute y étaient-ils déjà il y a 8000 ans.

Période des bovidiens, naturaliste et descriptive, où dominent des troupeaux de bœufs avec leurs pasteurs. Des scènes de la vie quotidienne, représentées de manière réaliste et dynamique abondent, le plus souvent de petites dimensions mais parfois aussi réalisées en grandeur réelle. En général, c'est une peinture plane, utilisant le rouge et le blanc, mais dans certaines régions comme le plateau de Tadjilahine il y a des fresques polychromes d'une qualité de dessin remarquable.

Outre le plateau déjà cité, cette période est représentée dans presque toutes les régions du Tassili, avec des variantes de style. Le plateau près de Djanet recèle parmi les plus belles fresques: les sites de Tamrit, Séfar, Jabbaren ont été les premiers révélés au grand public.

On estime que les pasteurs bovidiens ont commencé à occuper le Tassili il y a environ 6000 ans, puis après une période florissante qui nous a valu ces magnifiques fresques, ils ont dû refluer vers le sud, du fait de la sécheresse accrue.

Cavaliers, Chameliers
On trouve encore des peintures bovidiennes jusqu'aux approches du premier millénaire avant notre ère. Les peintres-pasteurs se sont constamment représentés avec leur diversité ethnique, dans leur intimité, ils ont peint la faune aussi et en tout premier lieu leurs bœufs, leurs vaches porteuses quand le campement se déplace, les veaux à l'attache, avec une prédilection évidente. Mais le message est sans doute plus profond que ne le laisse transparaître une première lecture rapide.

La description de la vie de tous les jours, certes, mais peut être aussi l'illustration de mythe, comme le laisse deviner l'observation des grandes civilisations pastorales et les comparaisons avec une de ces cultures actuelles, celle des Peuls.

La période du cheval

Les peintures comme les gravures de cette période sont à tendance schématique et géométrique; il y a encore des troupeaux, bœufs, petit bétail mais apparaît le cheval (et le char). Les scènes de chasse au mouflon aussi, de chars attelés sont les plus courantes, la faune est nettement plus pauvre.

La peinture est en général plane monochrome, le dessin raide. Les personnages sont géométriques, têtes en bâtonnet, ou corps formé de deux triangles opposés… mais là aussi les styles sont divers et certaines fresques sont remarquables par leur mouvement.

La période du dromadaire

La tendance amorcée précédemment dans le dessin vers une schématisation de plus en plus nette se poursuit allant certainement de pair avec une aridité accrue du climat. Le cheval laisse la place au dromadaire vers le début de l'ère actuelle. Les gravures et les peintures sont désormais accompagnées d'inscriptions tifinar, courts messages laissés par les bergers ou les nomades de passage. Les plus anciennes ne sont pas déchiffrables par les habitants actuels de la région, bien qu'utilisant presque le même alphabet aujourd'hui.

Recommandations
Pour votre sécurité:

1) L'accès, la circulation, les visites de régions ou de sites sont réglementés à l'intérieur du Parc National du Tassili (PNT); ils donnent lieu au paiement des droits d'accès. Il est interdit de circuler seul en dehors des pistes autorisées:

Piste Illizi, Bordj El Haouès, Djanet par la région de Fadnoun.
Piste Amguid, Bordj El Haouès, Djanet le long du piémont.
Piste Djanet, Tahort vers Tamanrasset
Piste Djanet, Serouaenat vers Tamanrasset
2) Toutes visites de régions ou de sites doit se faire impérativement par l'intermédiaire d'une agence touristique agréée par l'état ou un agent de conservation du PNT (s'adresser aux brigades d'Illizi, Ihérir, Bordj El Haouès et Djanet, et aux gardiens-guides de Tin-Alkoum, Tasset, Aharhar, Afara, Tamadjert et Oued Samène.

Patrimoine naturel

En 1986, le Tassili est inscrit dans le réseau international des réserves de l'Homme et la Biosphère (MAB - UNESCO). C'est la première réserve de la biosphère saharienne au monde.

Eau

Au Sahara, l'eau signifie la vie. Les ressources en eau sont très limitées et diminuent en raison de l'aridité. Elles sont vitales pour les nomades et leurs troupeaux, les voyageurs et les animaux sauvages.

Il est interdit:

de se laver ou se baigner dans les gueltas (plans d'eau)
puiser l'eau et utilisez-la à distance
de faire la vidange de votre véhicule ou de camper à proximité d'un point d'eau
Respectez son environnement immédiat,

Evitez les détergents et les lessives, ne jetez pas les piles car il y a risque de pollution par les métaux lourds.

Faune et Flore

L'équilibre écologique du Tassili est très fragile; la législation relative à la protection du patrimoine interdit de:

détruire ou prélever minéraux et fossiles
couper, mutiler, arracher, détruire les végétaux non cultivés, arbres et arbustes compris
capturer par tout moyen, transporter, colporter, vendre et acheter des animaux non domestiques, vivant ou naturalisés
de les poursuivre en véhicule et les mener à la mort par hyperthermie quelques heures plus tard
de les chasser avec ou sans armes à feu
Plusieurs espèces animales sont protégées par décret présidentiel.

Patrimoine archéologique

En 1982, le Tassili est inscrit sur la liste du Patrimoine Mondial de l'UNESCO en raison de ses richesses archéologiques et notamment ses célèbres peintures et gravures rupestres préhistoriques. On peut en quelques minutes seulement détruire des millénaires d'histoire, il est donc interdit de:

ramasser, détenir, vendre ou acheter tout objet archéologique
procéder à des sondages ou fouilles
relever par quelque procédé que ce soit, mouiller, gratter, surcharger, inscrire des graffitis, découper ou détériorer toute gravure ou peinture rupestre
détériorer tout site archéologique ou historique
toute découverte fortuite doit être signalée à un agent du PNT, votre agence touristique agréée par l'Etat ou tout autorité locale.
Activité professionnelle

Toute activité professionnelle, photographique, cinématographique, radiophonique et publicitaire est soumise à une autorisation préalable délivrée par les autorités chargées de la culture (Alger) et donne lieu à l'établissement d'une convention avec l'OPNT.

Propreté et respect de la nature

Nous vous recommandons pour le respect de la nature des autres et pour votre propre plaisir:

de nettoyer l'emplacement de votre bivouac avant votre départ et de le laisser tel que vous aimeriez le trouver à votre arrivée

rassembler les détritus, papiers plastiques, réduisez vos boites de conserve en les aplatissant et prévoyez des sacs poubelles pour les ramener et les déposer dans une décharge publique. Le papier hygiénique est très inesthétique, brûlez-le
enfin, enterrez vos cendres
Hospitalité

Votre séjour au Tassili vous fera rencontrer des nomades ou traverser des oasis:

Respectez l'intimité et le mode de vie locale, pas de photo surprise; ni de tenue indécente, le contact humain en sera plus enrichissant.

Les circuits "art rupestre"
Si vous avez choisi ces circuits (plateau de Djanet, Iherir, Oued Djerat), sachez que vous allez visiter les plus grandes concentrations d'art rupestre préhistorique au monde dont les œuvres peintes ou gravées remontent pour les plus anciennes à près de 9000 ans et pour les récentes à environ quelques siècles seulement.

Pour leur sauvegarde et votre confort, veillez à respecter les consignes suivantes:

les circuits consistant à grimper au sommet du plateau du Tassili (près de 500 à 600 m de dénivellation) et à marcher de site en site pendant plusieurs heures et plusieurs jours, requièrent une bonne condition physique. Nous les déconseillons aux personnes âgées, corpulentes et aux enfants.
Prévoyez les effets nécessaires à une promenade pédestre au rythme soutenu (chaussure confortables et souples, vêtements chauds en hiver, crème solaire, gourde personnelle)
Pour faciliter la tâche aux âniers qui assurent le transport de vos bagages, de l'eau, des vivres et du couchage, rangez vos effets personnels dans des sacs souples (du genre sac à main de préférence). Evitez les valises qui blessent les ânes et compliquent le transport ainsi que les effets fragiles susceptibles de se briser (ex: flacon de verre).
La durée du circuit (nombre de jours et son programme de visite et nombre de sites) est mise au point par l'agence touristique agréée que vous avez choisie. Durée et programme sont portés sur l'autorisation de visite qui vous est délivrée par le PNT. Ils doivent être strictement respectés; une fois sur le plateau aucun changement n'est admis.
Depuis le départ au pied du col (ex: Tafilalet, Aghoum) jusqu'à votre retour, vous serez guidés par un agent de conservation - guide du PNT, natif de la région; faites confiance à son expérience de terrain; conformez-vous à ses instructions et écoutez ses conseils.
Sur le plateau, le guide est le seul habilité à fixer les heures de départ et d'arrivée, les itinéraires et les emplacements des bivouacs. Pour votre sécurité, marchez derrière lui, en groupe, évitez de vous disperser. Au pied du col, avant de monter, présentez à cet agent de conservation-guide votre autorisation de visite et votre matériel de photo. Il est habilité à refuser l'accès du plateau à toute personne qui ne sera pas munie de l'autorisation de visite ou qui aura été jugée physiquement inapte à l'effort.
Il est interdit de toucher aux peintures avec quoique ce soit (main, bâton, pierre), d'utiliser le flash, de passer outre le muret de protection, de pratiquer l'alpinisme.
Avant votre départ, nettoyez votre bivouac. La réussite de votre circuit dépend beaucoup de la discipline et l'organisation du groupe, notamment en terrain difficile et parfois hostile.

Les circuits "Oasis" (canyons, vallées, et dépressions)
Ces îlots de fraîcheur se sont miraculeusement conservés malgré l'aggravation de l'aridité au cours des derniers millénaires.

Ecosystèmes très fragiles, ils recèlent de nombreuses espèces végétales d'origine saharienne, méditerranéenne ou tropicale dont l'existence est impérativement liée à l'eau pérenne (nappe phréatique, source, guelta).

A Edarène, Ihérir, Aharhar, Afara, Tamadjert, des agents de conservation du PNT vous guideront à travers les promenades autorisées.

Le camping sauvage y est interdit et les visites réglementées.

A Ihérir, un camping est à votre disposition, les promenades vers les guletas (Azarif au nord et Edarène au Sud-Est) se font impérativement avec les agents-guides du PNT.

Pêches et baignades sont strictement interdites. Veuillez respecter cette discipline et les instructions des agents locaux.

Le PARC NATIONAL DU TASSILI emploie près de 75 agents de conservation, guides et gardiens pour la préservation des fragiles richesses du Tassili et pour vous offrir le plaisir de les contempler.

Ces agents, votre agence touristique agréée par l'état connaissent bien le terrain, ses richesses mais aussi ses dangers: prenez conseil et suivez leurs instructions

مبروك الترقية ....مشرف مميز.... .....

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